RPG Floricienta
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 Federico Fritzenwalden est vivant, il est vivant ! [Tout le monde]

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Federico Fritzenwalden
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Federico Fritzenwalden


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MessageSujet: Federico Fritzenwalden est vivant, il est vivant ! [Tout le monde]   Federico Fritzenwalden est vivant, il est vivant ! [Tout le monde] Icon_minitimeMar 22 Juin - 12:55

- Federico Fritzenwalden, c'est à votre tour.

Cela faisait des mois que Fede vivait au paradis. C'était un lieu calme et paisible, l'endroit presque parfais. Et oui, il y avait pourtant un autre lieu où le Fritzenwalden rêverai d'y habitait : la maison Fritzenwalden. Chaque nuit, il en rêvait. Et d'ailleurs, c'était à son tour de voir les images de ses proches. En effet, chaque jour, les habitants du Paradis pouvaient visionner la vie quotidienne de leur proche s'il le voulaient. Federico s'y rendit precipitemment. Une fois arrivé, il avait droit à dix minutes de visionnage, c'était peu, mais déjà bien.

-Roberta, viens regarder ce nouveau DVD, tu vas voir, il est super !

Apparament, les enfants étaient heureux, c'était tout ce que demandait pour Federico. Bien entendu, il regarda ensuite le train train quotidien de Flor. Il avait remarqué la naissance d'un amour entre elle et le compte Calderon, son remplacent à la maison. Bien sur, il ressentait toujours une pointe de jalousie, mais il était content que Florencia retombe amoureuse, elle a le droit au bonheur, après tout. Après tout, c'était bien lui qui avait demander au compte de tomber amoureux de Flor. C'était son choix, sa décision. Et bien entendu, les sorcières tournaient toujours autour, continuant leurs arnaques en tout genre...

Mr Fritzenwalden, votre séance est finie.

Comme d'habitude, il versa une petite larme, mais finit pas répondre à son interlocuteur.

Vous êtes sûr que je ne peux pas y retourner ? Je n'ai pas mérité cette mort ! Je n'ai jamais put être heureux !

A moin d'un miracle, vous ne sortirez pas d'ici, désolé monsieur.

C'est exactement à ce moment là qu'il y eut un trou noir.

__________________________________________________

C'est... C'est un miracle ! Il est en vie, il est en vie !

L'infirmière courrait de partout, à la recherche d'aide. Apparament, une personne étant annoncée morte était "revenue à la vie", après de longs mois, voire une année. Cette personne, c'était Federico Fritzenwalden. il rêvait, il était dans le noir complet, mais de petites lumières vives, de toutes les couleurs, virvoltaient autour de lui, en lui disant qu'il était vivant, grâce au pouvoir des fées. Et, enfin, Federico ouvrit les yeux. Malheureusement, il ne se rappellait plus de son passage au Paradis, ni de son accident qui lui avait coûté la mort. La dernière chose qu'il se souvienne, c'est la découverte des plans de Delfina.Il se souvient aussi de l'annulation du mariage avec la sorcière et qu'à la place il s'était marrié à l'église avec Florencia. Le Fritzenwalden ne savait pas ce qu'il faisait ici, il n'avait aucune idée d'un accident ou quoi que ce soit. Pour lui, le temps s'était arrêter à l'église, lorsqu'il prit pour épouse Florencia.

Il se leva de son lit, et se dirigea vers la sortie, pour retourner à la maison. Mais une infirmière l'arrêta.


Voyons, monsieur, vous venez de sortir d'un an de coma, on vous croyez tous mort ! Pour la société, vous êtes décédé depuis bien longtemps ! Alors s'il vous plaît, couchez-vous, nous devons vour faire des examens.

Federico fut choqué. Lui, mort ? Pendant des mois, en plus ? C'était impossible ! Il ne se souvenait de rien ! Et si... Et si les enfant l'avait oublié ? Ou Flor ? Non, non, ça ne pouvait pas arriver. Fede devait aller le plus vite possible à la maison, pour éclaircir tout ça, et pour retrouver ses frères et Flor, qu'il n'a apparament plus vu depuis près d'un an.

Ecoutez, je veux bien faire vos examens, mais dépechez-vous, je dois retrouver ma famille ! Je vais bien, croyez-moi.

Bon... Je ne ferais que des examens dégéraux, mais s'il vous plait, dans une semaine, nous devons vous osculter avec plus de précisions.

Le Fritzenwalden acquiessa, et l'infirmière lui fit donc ses examens. Après 30 minutes, on lui donna des habits de rechange, et il put sortir de l'hôpital. Il ne prit même pas de taxi et courrut jusqu'à sa maison.

Flor, mon amour... Les enfants... Je suis là, je suis là !

Pendant toute la route il cria le nom de chacun de ses proches, sous les regards surpris des passants. Après dix minutes de course, à bout de souffle et encore faible, il sonna à la porte, les larmes au yeux. Il ne croyait toujours pas à sa sois disante mort. Tout ses proches auraient donc complètement changé en l'espace d'un an... Et puis, auraient-ils complètement oublié Fede ? Sont-ils toujours aussi gentils, sont-ils toujours presque les mêmes ? Et Florencia... En aime-t-elle un autre ? Ca serait vraiment le scénario cauchemardesque pour Federico. Tout ce dont il était persuadé, c'était que Delfina n'y serait pas, dans cette maison, après tout ce qu'elle a fait... Au moin, ça, il en avait de bon souvenirs. Toutes ces crasses qu'elle avait fait avec un complice et Malala ! D'ailleurs, l'aîné de la famille ne savait toujours pas qui était ce mystérieux complice. Mais tout ça ce règlera plus tard. Il faut d'abord attendre l'ouverture de la porte.
Là, il était plutôt occupé à attendre impatiemment qu'on lui ouvre la porte, priant intérieurement pour que ça soit Flor ou un de ses frères qui lui ouvre. Qui sait, peut-être que les Fritzenwalden ont déménagés...
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Delfina Santillan
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Delfina Santillan


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MessageSujet: Re: Federico Fritzenwalden est vivant, il est vivant ! [Tout le monde]   Federico Fritzenwalden est vivant, il est vivant ! [Tout le monde] Icon_minitimeMar 22 Juin - 13:47

Les journées depuis la mort de Fede et l'arrivée de Max étaient d'un ennuis mortel! C'est vrai, Fede la divertissait un peu avec son "j'aime Flor, mais je suis condamné à resté avec Delfina!", quand bien même il ne s'occupait jamais d'elle et était un fiancé indigne. C'était...Divertissant, de le voir se torturer pour Florencia, et même si les périodes "j'aime Flor, je dois quitté Delfi!" du blond ne l'avait jamais vraiment enchanté, il y avait un tant soit peu d'action, et elle devait se mettre en quatre pour trouver un plan digne de ce nom pour le garder près d'elle. Elle les lui avait certainement toute faite: Fausse Grossesse, fausse fausse-couche, dépression, maladie en phase terminale, évanouissements, crises de larmes. oui, elle était passée maîtresse dans l'art des stratagèmes et des évanouissements programmés, ainsi que du "pleurer sur commande". On ne quitte pas une Santillan. Ou plutôt, on ne quitte pas Delfina Santillan. Sofia, sa soeur, les hommes pouvaient la quitter tant qu'ils voulaient, Delfina s'en fichait.

Bref, Federico avait donc appris à ses dépends qu'il lui était impossible de se séparer de la brune et, lorsqu'il l'avait enfin fait et comptait enfin être heureux avec sa douce et précieuse petite Flor...Il était mort! Si ça, ce n'était pas un signe. Un vrai signe, pas comme ceux des pitoyables petites fées de la souillon. Flor et Fede ne seraient jamais heureux, ce n'était pas leur destin.

Pourtant, depuis la mort de Fede, Delfina le regrettait presque. Séduire le compte s'était avérer plus amusant qu'elle ne le pensait, mais elle n'avait plus les pleins pouvoirs sur la famille Fritzenwalden et même menacer Florencia de faire du mal aux enfants pour ensuite la voir s'agiter et se ridiculier était devenu lassant. Oui, à présent, Delfina était mariée à Maximo, il ne pourrait donc jamais la quitté, même pour Flor, et elle n'avait donc plus rien à faire, à part bien sûr lui sourire et se faire passer pour la saint-maritaine de service, mais c'était plus devenu une routine qu'un véritable travail. Oui, croyez le ou non, faire les boutiques tout les jours était devenu lassant, à tel point qu'elle priait tout les jours pour que quelque chose se passe dans sa vie. Pas quelque chose de trop grave, bien sûr, Max ne devait pas la quitté, mais quelque chose de divertissant, qui la sortirait de sa routine fatiguante et qui la tuait à petit feu. De nombreuses fois, elle avait penser se réfugier dans les bras de Lorenzo, mais il était complètement accro à Flor, et elle refusait de passer après sa minable demi-soeur que tout le monde adorait, alors, elle avait préféré ne pas passer du tout, quand bien même cela lui brise le coeur et ne fasse pas avancer ses affaires.

Elle ignorait à quel point aujourd'hui elle allait être servie. Et elle ignorait que cela allait être grave. Si Delfina l'avait sût, alors sans aucun doute aurait-elle cesser tout nette de souhaiter briser sa routine.

Ce matin avait donc été un matin ordinnaire, comme les autres. Delfina s'était réveillée dans un lit que Max avait déjà déserté, se rapellant encore une fois que ces trois mariages avaient été un désastre. Et dire que, lorsqu'elle était petite, elle avait toujours rêver d'un beau mariage en blanc, brillant, claquant, marquant les esprits, avec des photographes, la presse, et des millions d'invités tous plus joyeux les uns que les autres. Un grand mariage sans aucun scandale ou elle serait l'invité d'honneur et la plus belle de toute la fête, durant laquelle elle serait admirée. Oui, Delfina rêvait d'un grand mariage de princesse, comme dans les contes de fée, mais aucun de ses trois époux n'avaient pût le lui offrir: Federico l'avait planté devant l'autel et le mariage civil était en comité restreint; elle avait saboté son mariage avec Max à cause de la variole et il avait faillit la planter devant l'autel... Et Lorenzo... Lorenzo et elle s'étaient mariés rapidement et sans prendre le temps d'organiser quoi que ce soit, plus pour le geste que pour le mariage dee conte de fée.
La brune s'était levée et avait donc choisit sa tenue: une robe noire courte, mais chic avec ce qu'il fallait de décoleté, une grosse ceinture léopard qu'elle attacha à sa taille, ses chaussures à talon aiguille léopard et une veste courte en cuir. Elle avait ensuite mit bijoux et boucles d'oreille, c'était maquillée et avait prit un petit-déjeuné express pour ensuite allé faire du shopping avec sa mère et était rentrée avec cinq sacs, plus pour rentrer avec des sacs que pour acheter des vêtements qui lui seraient utiles. Elle était dans le salon, à lire un magazine, lorsqu'on toqua à la porte.


-Greta? Greta? Evaristo?

Pas de réponse. Elle se décida donc à aller ouvrir elle-même la porte. Bon sang, ce que ces domestiques étaient inutiles et incompétants! Jamais là quand on avait besoin d'eux, jamais là pour faire leur travail, toujours à se tourner les pouces. Cela avait le don d'exaspérer la brune. Elle ouvrit donc la porte, se retrouvant nez-à-nez avec Fede, celui qu'elle croyait mort depuis un moment. La surprise se lut sur son visage, qui se décomposa petit à petit. C'était impossible! Fede était...Fede était mort!

-Fe...Fede? Je...C'est...

Elle ne pouvait pas finir sa phrase, trop sous le choc. Et bien sûr, à présent, elle se retrouvait dans une position délicate... Soit elle était finie car Fede se souvenait de toutes ses crasses, soit il ne se souvenait de rien, et elle était sauvée. Elle se décida quand même à parler.

-C'est un miracle, je... Comment est-ce-que tu... Qu'est-ce-qui t'es arrivé?
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Florencia Fazzarino.
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MessageSujet: Re: Federico Fritzenwalden est vivant, il est vivant ! [Tout le monde]   Federico Fritzenwalden est vivant, il est vivant ! [Tout le monde] Icon_minitimeMar 29 Juin - 14:19



La mort de Federico a réduit le cœur de la jeune Florencia à néant. Elle avait voulu au monde entier de ce mauvais sort. Ils auraient pu vivre un amour heureux, sans faille mais surtout sans sorcières. Elle n’arrivait pas à croire. Federico s’était matérialisé devant elle, discutant un peu avec cette dernière puis s’échangeant un dernier baiser. Florencia avait énormément souffert de son absence, elle lui en voulait presque d’avoir sauvé le comte Calderon de la Hoya. Maintenant qu’il n’était plus là, les enfants avaient encore plus besoin d’elle. Elle se devait d’être forte et elle se dit souvent que Federico les regarde de là haut et qu’il les protège. Puis, tout se chamboula avec l’arrivée d’un nouveau tuteur qui n’est autre que Maximo Calderon de la Hoya. La relation qui liait le comte et Florencia fut électrique. Elle ne l’appréciait pas et faisait tout pour ne pas l’apprécier. Malgré tout, elle sentit qu’elle commençait par tomber amoureuse de lui mais elle ne devait pas se le permettre. Elle a promis fidélité envers son Don Freezer : elle ne devait pas le trahir. Le destin, ses fées, ont voulu les réunir et les sentiments de la jeune femme envers Maximo furent fortes : c’était pareil pour lui.

La découverte d’une vidéo changea tout. Federico parlait en travers de Maximo. Il l’autorisait à aimer Maximo et de le retrouver dans ses yeux. Florencia avait pleuré en découvrant cet enregistrement. C’était impossible, un miracle. Au même moment, elle se souvenait que Tomas s’était, littéralement, jeté dans les bras du jeune comte, alors qu’ils ne se connaissaient pas plus que ça. Il avait certainement vu Federico en lui et un sourire s’était affiché sur les lèvres de la jeune Floricienta. Ceci dit, le seul Fritzenwalden a savoir pour l’existence de cette vidéo n’est autre que Franco. Ensuite, Florencia partie cacher cette cassette vidéo près de son arbre, l’enterrant.

A l’heure actuelle, l’amour de sa vie allait se marier, bientôt, avec sa demi-sœur : Delfina. L’histoire se répétait sans cesse. Ils s’aiment mais leur amour est impossible si Delfina se trouve toujours sur leur route.

La jeune Floricienta était dans sa chambre, assise sur son lit, près de son arbre, son nounours contre son cœur. Elle se sentait bizarre, comme si quelque chose allait se passer.
« Mes petites fées, rassurez moi, envoyez moi un signe que rien ne se passera aujourd’hui. J’ai une angoisse atroce au niveau de mon ventre. » Elle secouait légèrement sa tête, peut être délirait elle.

La maison était vide, les enfants se trouvaient à l’école et les grands sans doute à la salle de gym. Dans cette grande maison se trouvait Florencia, Maximo, Delfina, Greta et Evaristo. Florencia, toujours dans sa chambre, déposa son nounours sur son lit. Elle se leva et partit à sa table de chevet, près de la porte de la chambre. Sa boite où contenaient les amulettes s’y retrouvait. Ouvrant cette boîte, la jeune femme prit une de ses amulettes qui avait le pouvoir de chasser les angoisses. Elle le prit, lui donnant un bisou et le serrant contre son cœur.
« Je t’en prie, fait en sorte de faire partir l’angoisse que j’ai. Quelque chose va se passer, je le sais. » Murmurait-elle.

La sonnerie de la porte avait retenti. Elle n’avait pas le souvenir que quelqu’un recevait de la visite. Ca allait la faire changer les idées et ne plus penser à cette angoisse. Quittant sa chambre, elle descendit les escaliers, traversant le couloir et descendant les escaliers à nouveau. Elle avait, bien évidemment, entendu Delfina appeler Greta & Evaristo. Elle avait levé les yeux au ciel à ce moment là. « Elle ne peut vraiment pas ouvrir la porte elle-même. » Fort heureusement, elle n’avait rien entendu mais l’angoisse de Florencia s’agrandissait : elle avait vraiment peur.

Elle se trouvait en bas des escaliers, dans le salon. Elle vit Delfina comme un piquet. Mais qu’est ce qu’elle avait encore ?
« Je peux savoir ce que tu fabriques encore ? Encore un mauvais coup ? Et puis qu’est ce que tu radotes ? Pourquoi parles-tu de miracle ? » Elle n’aurait du rien dire. Delfina s’est un peu poussée vers le coté afin que Florencia voit la personne qui se trouvait sur le pas de la porte. Delfina était toujours sur le choc.

« Don Freezer ? » Non, c’était impossible. Elle n’arrivait pas à le croire. Son cœur s’accélérait. Elle ne le quittait pas des yeux. C’était un miracle, les enfants seraient heureux de le revoir. C’était improbable. Des larmes coulaient le long des joues de la jeune Floricienta. Son angoisse s’était confirmée. Ses fées devaient être pour quelque chose : elle en était certaine. « Comment est ce que tu... Comment vas-tu ? Je… » Elle ne pouvait pas quitter son regard de Federico. C’était l’amour de sa vie et elle en aime un autre. Comment est ce qu’elle pouvait gérer cette situation ? Federico avait sauvé la vie de Maximo et ce dernier serait étonné de voir son sauveur en vie.

De longues minutes de silence, d’absence des trois personnes… Florencia s’était avancée légèrement mais finalement elle est partie dans les bras de Federico. Des larmes ne cessaient de couler. Elle ne savait plus quoi penser en cet instant.





Dernière édition par Florencia Fazzarino. le Sam 21 Aoû - 21:21, édité 3 fois
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Franco Fritzenwalden
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MessageSujet: Re: Federico Fritzenwalden est vivant, il est vivant ! [Tout le monde]   Federico Fritzenwalden est vivant, il est vivant ! [Tout le monde] Icon_minitimeDim 4 Juil - 18:45

    Comment définir la mort de Fédérico pour Franco ? Irréaliste simplement, il en avait tellement souffert, qu'il ne pouvait plus vivre. Il était devenu le grand de la maison, celui qui devra prendre les enfants sous son aile. Franco ce souvient encore de se jour, Matias lui avait appris la terrible nouvelle alors qu'il criait encore une fois sur Delfina, il avait ressentit comme un couteau qui lui transpercait le coeur, Fédérico mort, il ne pouvait pas le croire, ce devait être encore un coup des sorcières, mais non. C'était bien réel, et il ne pouvait empêcher sa. Quand Matias commençait à pleurer, il s'effondra en larme, mais le moment le plus horrible pour lui, était de l'apprendre à Flor, celle-ci était partis en larmes dans les bras de Franco.Enfaite, Franco n'avait pas pleurer des tonnes, il voulait rester fort, mais c'est plus tard qu'il craqua et alla au néant. Il ne pouvait plus vivre sans Fédérico, car il devait avoir un grand frère, pour lui montré la route. C'est Maximo qui arriva à se moment, Franco le détéstai, il s'avait que c'était en sauvant la vie à Max, que Fédé avait été chouter. Mais avant que celui-ci entre dans la vie des Fritzenwalden, c'était la vipère de Delfina qui était au reine, Franco et les enfants était pris dans une cage, la maison était devenu un vrai territoire de serpent. Mais Max arriva, et le testament aussi, Maximo avait belle et bien la garde des enfants, et avec sa, celle de Franco et de Nicolas. Olivia, avait beaucoup aidé Franco, depuis qu'elle était la, il revivait. Du moin, jusqu'à qu'elle réfléchisse pour des futurs enfants, elle ne voulait pas d'enfant ayant des peines physique, ou mental. Franco était son cousin, et il ne deviendrai pas plus, du moin c'est ce qu'elle pensait jusqu'ici.

    Aujourd'hui, Franco est entrain de plier des serviettes, la salle de gym lui demande beaucoup de temps, et de travail. Malala est aussi beaucoup dans ses pattes, avec cette idiot de Bonila. Dire qu'il était amis avec Fédé, ca ce comprend pas vraiment. Le téléphone n'arrette pas de sonné.Quelqu'un ne pourrai pas s'occupé de cette salle, je doit rentré chez moi
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Federico Fritzenwalden
Don Fritzer
Federico Fritzenwalden


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MessageSujet: Re: Federico Fritzenwalden est vivant, il est vivant ! [Tout le monde]   Federico Fritzenwalden est vivant, il est vivant ! [Tout le monde] Icon_minitimeSam 10 Juil - 18:00

Federico était donc devant la porte. Et lors de son ouverture, tout se passa vite, trop vite. Les évenements se succédèrent rapidement, sans que le Fritzenwalden ait le temps de penser à quoi que ce soit.Il faut dire qu'il sortait d'un coma très profond, et il n'était pas complètement rétabli, loin de là. Pour l'instant, l'homme au coeur de glace était défasé, son cerveau ne suivait pas, il n'était pas encore en bon état de marche.

Tout d'abord, ce fut l'impensable qui se produisit, un cauchemard éveillé. Devinez qui lui ouvra la porte... Delfina. Non, comment pouvait-elle encore vivre dans cette demeure ? Qu'avait elle encore échafaudé comme plan, pour pouvoir encore être là, dans la maison du Fritzer. Tout ça, il le saura bien assez tôt car tout d'abord, il devait prendre conscience de ce qui se passait. Bien sûr, elle lui fit le coup de la scène émouvante, mais Fede savait très bien qu'elle ne voulait absolument pas la renaissance du Fritzenwalden en chef. Malheureusement pour elle, il se souvenait de tout, absolument tout, du moin jusqu'à son accident. Oui, c'est la seule chose dont il ne se souvient pas. Il n'en connait pas la cause. Il ne lui répondit même pas, encore sous le choc de la voir ici.

Par miracle, il entendit une voix qui lui fit chavirer son coeur. Une voix qu'il voulait à tout prix entendre. Une voix si magnifique, si douce, si... Enfin bref, Federico avait reconnu la voix de sa princesse Florencia. Elle se rapprocha de la porte, et Delfina s'écarta pour qu'elle puisse le voir. Le moment tant attendu était donc arrivé, Fede rencontra enfin le regard de Florencia. Son coeur battait la chamade, de petites lumières dansaient autour de sa promise, c'était un rêve, un rêve devenur réalité. La revoir, enfin. Après quelques temps de silences, pour pouvoir reprendre ses esprits, Florencia se jetta dans ses bras. Don Fritzer la serra fort, fermant les yeux, une larme ruisselant le long de sa joue.


Florencia... Florencia... Je t'aime.

A ce moment là, il ne se doutait pas du tout qu'elle en aimait un autre. Il était persuadé qu'elle l'aimait encore, et que tout retournait dans l'ordre. La seule chose, qu'il ne comprenait pas, c'était que Delfina soit là. Sinon, pour lui, tout allait bien. Si seulement il savait... Mais c'est une autre histoire, pour l'instant, il savourait ce moment magique. Pour lui, ça faisait peu de temps qu'il n'avait plus vu Florencia. mais en fait, cela faisait plus d'un an. Dans son coma, il avait perdu toute notion de temps. C'était comme si les évenements passés avaient eu lieu il y a une petite semaine. Mais maintenant qu'il savait qu'il était "résussité", il se devait d'accueillir Florencia comme il le fallait.

Après plusieurs minutes dans cette même position, Federico se recula, et prit enfin la parole, pour poser la question qui lui trottait sans cesse en tête. Et pour ça, il s'adressa à Delfina.


Qu'est ce que tu fais encore ici ?

Ses frères n'étaient pas encore présents, mais le Fritzenwalden était déjà préssé de les voir. Mais il fallait d'abord éclaircir cette histoire. Cette sorcière ne pouvait pas être encore là... C'était impossible. Federico avait donc manqué tant de chose ?
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Delfina Santillan
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MessageSujet: Re: Federico Fritzenwalden est vivant, il est vivant ! [Tout le monde]   Federico Fritzenwalden est vivant, il est vivant ! [Tout le monde] Icon_minitimeDim 11 Juil - 20:33

-Ôte tes sales pattes de mon mari, tu veux ?

La phrase avait été sèche, glaciale, coupante, tombant dans l’immense joie du moment comme un le coup de poignard asséné par un meurtrier. Ce n’était pas de sa faute, après tout. C’est juste que cette scène était pathétique. Trop pathétique. Pathétique à l’écœurement, comme ces soirs de noël qui ne véhiculent qu’un amour et un bonheur infini auquel elle ne goûterait jamais. Parce que tout ce qui était susceptible de la rendre heureuse, Flor le lui avait arraché. Cette brunette aux bouclettes enivrante d’amertume et d’horreur, au sourire joyeux et enjôleur qui poussait sa demi-sœur aînée à vomir un flux d’immondes paroles, lui avait tout simplement tout prit, ne lui laissant même pas les miettes, mais ne pouvant lui crever les yeux pour l’empêcher de pleurer. De toute façon, les miettes de Flor, Delfina n’en voulait pas. C’est pour cela que l’acte était encore pire, encore plus affreux et insoutenable que si la brune à la longue queue de cheval avait accepté de n’être que l’ombre de Flor. Et, pour ajouter à la douleur de la situation, Flor ne faisait pas exprès. Du moins, elle le prétendait.

C’est juste qu’être Flor, cela semblait…
facile. Cela semblait irradiant de félicité, épanouissant, éblouissant. C’était car elle était éblouissante qu’elle aveuglait si bien toute personne l’approchant. Par chance, Delfina possédait ce magnifique don – la rancœur – lui permettant de voir Flor tel qu’elle était –du moins aux yeux de Delfina.

Mais reprenons du début, voulez-vous. Non, je ne vous parle pas de l’arrivée miraculeuse et affreusement embêtante de Federico, ressuscité d’entre les morts, je vous parle de l’enfance de Delfina, dans cette immonde villa froide, vide de vie, pareille au marbre des pierres tombales : Jolie en surface pour masqué l’horreur qui se trouvait dessous, leur froideur n’était en réalité qu’un avertissement muet, puisque les pierres ne peuvent pas parler. Une maison froide, une mère digne de la belle-mère de Blanche-Neige, et un père de cire. Toute son enfance, lorsqu’elle cherchait dans les yeux d’Alberto, la brune avait espéré y voir ne serait-ce qu’une once de fierté, de vie, d’amour. C’était une prière muette, le cadeau implicite qu’elle demandait au Père Noël et aux Rois Mages. Le pire, c’est que Flor n’a jamais demandé de père. Elle n’a jamais souffert un tout petit peu de l’absence d’Alberto, et à présent, pleurait de ne pas l’avoir connu. Oui, car Delfina s’est toujours douté, silencieusement, qu’il y en avait une autre. Une autre plus talentueuse, plus belle, plus gentille, plus douce, plus créative, plus intelligente. Seulement, cela faisait parti des sujets que l’on n’abordait pas, même à mi-voix, et ce mythe de l’autre fille infiniment mieux qu’elle avait été rangé dans un recoin de sa tête, résonnant toujours, à chaque fois qu’elle n’obtenait aucune approbation de son géniteur. Il est mort. Il est mort, tout simplement. Dans le fond, cela n’avait rien d’un abandon, puisqu’il n’y avait plus rien à abandonner. C’était juste de la lâcheté, mais on n’utiliserait jamais ce mot, pour garder graver en soi l’image d’une famille heureuse sous un arbre du jardin, souriant pour la photo. On oublierait silencieusement que ce sourire disparaissait après le flash.
C’est ses souvenirs, les mots derrière ces cadres où trônaient les photos de famille, que Florencia a violé sans vergogne, par le simple fait d’exister, et de vouloir le revendiquer.

Ensuite, il y a Lorenzo. Seul et unique amour de la brune. Elle mourra sans aucun doute en l’aimant encore. Seulement cela n’a plus d’importance. Oui, elle l’a trahit. Elle a eut peur, elle est parti, mais l’erreur est humaine, et lorsqu’il revînt vers elle, Delfina crut voir en ses yeux qu’il serait capable de lui pardonner. Combien elle avait eut tord ! Pire que ne pas pardonner, il était tombé follement et inlassablement amoureux de Flor. Nouveau coup de poignard. Aussi rude, voir plus dur à encaisser, que le précédent.

Après, il y a Maximo, son trophée personnel. Ce n’est pas qu’elle l’aime, bien sûr, et même si l’argent du Comte est un atout non-négligeable, ce n’est pas ça non plus. C’est juste que, pour une fois, Delfi aurait voulu gagner. Elle aurait voulu voler à Flor ce qui lui revenait de droit, lui montrer à quel point cela fait mal. Encore une fois, son histoire avec Max s’était retrouvée bousillée, piétinée par le sourire rayonnant de Florencia.

Et puis, dernier mais non des moindres, il y avait le fiasco Federico, qui lui revenait de plein fouet dans la figure. Elle l’avait aimé. Ou plutôt, reformulons, elle avait aimé son argent, la fierté que sa mère aurait de la savoir mariée à un Fritzenwalden mais, soyons honnête, elle n’a jamais réussi à être le centre de son minuscule monde. Florencia, elle, y était parvenue, prenant pou excuse d’être amoureuse, et avait ainsi réduit encore plus la taille de l’univers de Federico. Seulement, tout le monde le sait, les histoires d’amour finissent mal, en général. Fede était mort, son amour avec sa demi-sœur était donc maudit. Bien sûr, Delfina s’en était voulu, avait craqué, avait laissé transparaitre une minuscule portion de la douleur qu’elle avait éprouvé. Fin de l’histoire, arrivée de Max.

Dans le fond, toute sa vie avait été un fiasco, et ce à cause d’une seule et même personne. Après tout cela, je doute qu’une personne parfaitement normale reste saine d’esprit. Cela n’avait pas été le cas de Delfina, mais passons sur ce détail. Non, ce qui importait, c’est que Fede se tenait là, devant elle, vivant, après l’avoir légalement épouser et l’avoir planté lors du mariage à l’Eglise, et qu’il enlaçait Flor comme si Delfina n’existait pas. C’est pour cela qu’elle avait dit cela. C’était sorti tout seul, à vrai dire, et elle n’y avait même pas réfléchi, zappant complètement que théoriquement, elle était veuve et remariée à Maximo. Cela n’avait aucune importance si Flor et Fede étaient heureux. Les insultes de l’épicière aussi n’en avaient plus - d’importance, s’entend.

Enfin, Fede sortit de l’écœurante torpeur qui l’englobait, lui et Florencia, pour s’adresser directement à Delfina. A peine eut-il prononcer sa question de la brune arqua un de ses sourcil, moqueuse, qui retomba ensuite à sa position initial, un rictus sarcastique s’étendant sur ses lèvres roses.


-Je vis ici.Répondit-elle.

Après tout, c’était l’évidence même, mais pour marquer le coup, elle continua quand même :


- Tu ne te souviens pas ? Allons, tu dois bien te rappeler de notre mariage civil, me donnant le droit d’être ici chez moi. Et puis, tu dois aussi te rappeler de la voiture, qui t’as renversé.

Elle sourit, laissant une pause dramatique dans son discours, plus qu’heureuse de maitriser la situation.

- Tu as été déclaré mort, mon coeur. J’étais là quand l’hôpital a appelé. Tu ne peux pas savoir à quel point c’était dur, d’entendre cela. Je ne pouvais pas partir et laisser tes frères orphelins et sans tutrice, n’est-ce pas ?

Son sourire sarcastique s’était élargit. Bien sûr, elle n’était pas resté là par gaité de cœur, mais le juge ne lui aurait pas permis de quitter définitivement la maison Fritzenwalden pour s’enfuir à Ibiza.

Et puis, cela lui vint, clair comme de l’eau de roche :
Fede savait. Il savait tout, d’après son regard, ou croyait tout savoir. Toutes ses crasses, tous ses coups bas,tout.Seulement, tout était une notion bien évasive puisqu’entre temps, Delfina avait fait de nombreux nouveaux coup bas, inventé de nouveaux stratagèmes affreux et sordides. Et puis, il était aussi impossible de tout savoir. C’était une théorie indéniable. Pourtant, le simple fait d’avoir l’intime conviction que Fede savait quelque chose la faisait trembler intérieurement de peur. C’est pour cela qu’elle ne lui laissa pas le temps d’objecter, de répondre. Parce que tant qu’il ne parlait pas, cela lui laissait le temps de trouver quelque chose qui lui ferrait mal, et lui ferrait passer l’envie de dire quoi que ce soit à son sujet.

-Enfin, sans tutrice… Pas exactement, puisqu’il y a Maximo, ton ancien associé, celui pour qui tu t’es sacrifié et que tu as nommé tuteur par miracle. Tu sais, il a d’ailleurs parfaitement prit ta place. Dans tout les sens du terme, d’ailleurs.

Son sourire s’agrandit d’un cran, en désignant ouvertement du regard Florencia, pour faire comprendre implicitement à Federico qu’elle en aimait un autre. Cela le tuerait. Et si cela ne le tuait pas directement, alors cela la tuerait elle, et il la suivrait dans la tombe, métaphoriquement parlant. C’était un coup de maître. Et elle était convaincue que Federico comprendrait ses insinuations pas si discrètes que cela. Après tout, elle n’avait aucun besoin de discrétion, puisqu’eux non plus n’en ressentait pas la nécessité.
C’était cela, la solution de Delfina :
Maximo. Il l’aidait sans le savoir. A présent, quoi que Fede puisse avancer, Delfina avait un avantage non négligeable qui lui éviterait presque toutes les explications du monde, qu’elle donnerait quand même pour paraitre honnête.

Oui, Delfina était convaincue qu’aux yeux du blond, rien n’était plus grave qu’une trahison de la part de l’être aimée, qui lui ferait instantanément oublier tous ses coups bas. Car Flor l’avait trahit, n’est-ce pas ? Elle l’avait trahit de la pire des manières : En tombant follement amoureuse d’un autre.


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MessageSujet: Re: Federico Fritzenwalden est vivant, il est vivant ! [Tout le monde]   Federico Fritzenwalden est vivant, il est vivant ! [Tout le monde] Icon_minitimeLun 19 Juil - 12:23



La jeune croyante de conte de fées ne savait pas comment réagir face à cette nouvelle. Les sensations qu'elle ressentait étaient toutes différentes. S'il n'y avait pas eu Maximo, s'il n'y avait pas eu toutes ses choses qui sont intervenues lorsque Federico était cliniquement mort, Florencia serait la femme la plus heureuse au monde. Cependant, elle avait eu la nette impression que l'amour éternel de sa vie était toujours auprès d'elle, qu'il ne la quittait pas une seule seconde. Lorsqu'elle s'est jetée dans les bras du jeune homme, elle avait fermé ses yeux. Les souvenirs des instants passés en sa compagnie. Leur relation avait été difficile, surtout au début, mais leur amour est éternel : elle le savait très bien. Le mot qu'il avait prononcé : "je t'aime", la jeune Floricienta réalisait qu'elle ne pouvait pas lui faire du mal. Il ignorait tellement de choses... Plusieurs minutes enlacés dans ses bras, ils se séparèrent. Florencia regardait sa grande soeur qui était comme interloqué de le voir ici, vivant. Flor était également surprise mais pas tant que ça. Les mots qu'avaient prononcés le jeune homme laissaient la jeune Floricienta perplexe. Que voulait il dire par là ?

Sa relation avec Delfina était tellement difficile. Florencia ne comprenait pas pourquoi elle avait autant de rancœur envers elle. Qu'avait elle bien fait pour qu'elle ait une envie enivrante de la rayer du monde... Florencia pensait qu'elle n'avait pas reçu beaucoup d'amour de la part de sa mère et de son père. L'éducation de Malala n'avait rien arrangé et Delfina était devenue la femme la plus cruelle que le monde n'est jamais connu. A comparer même Cruella se devait d'être petite face à elle. La jeune chanteuse voulait vraiment l'aider. Elle sait pertinemment qu'elle ne serait pas cette affreuse et odieuse sorcière si son éducation avait été différente. Le père de Delfina - qui est aussi le père biologique de Florencia - devait vraiment manquer à l'ainée. Il n'a pas du lui donner autant d'amour qu'une petite fille rêve d'avoir de la part du seul père. Florencia n'a jamais connu Santillan, elle ignora comment il était, ce qu'il était réellement. Elle considère son beau père, Eduardo, comme son vrai père. Malgré le peu de temps qu'il se trouvait à ses cotés, il lui donnait de l'amour, du soutien, de la reconnaissance... Sans oublier Marguarita Valente, la mère de Floricienta, celle qui lui a tout appris. Les croyances de conte de fées, les amulettes, l'arbre magique de Florencia proviennent, avant tout, de la mère de la jeune demoiselle.

Florencia n'a jamais voulu tout ce qu'il y avait. Lorenzo Monaco... Depuis le début, elle avait eu la nette impression qu'il connaissait Delfina, qu'ils étaient liés... mais ce dernier est tombé amoureux d'elle... Que pouvait elle faire à part le repousser ? Elle l'aimait bien mais sans plus... Ce qui n'est guère le cas vis à vis du comte Calderon de la Hoya. La première rencontre avec lui était la même que lorsqu'elle avait rencontré le prince charmant : Federico. A chaque fois qu'ils se voyaient, il fallait mieux se cacher pour ne pas attraper les foudres qui leur frappaient. Ensuite, le temps passe, les sentiments évoluent. Florencia s'est jurée de n'aimer personne à part Federico, son prince charmant, son Don Freezer. Le destin a fait en sorte de les réunir coute que coute. La découverte de cette vidéo était la révélation. Federico lui donnait la permission d'être heureuse, d'aimer Maximo, de le chercher en regardant ses yeux. A cet instant, la jeune femme regardait Federico, qui se tenait au pas de la porte. Elle le regardait... Son coeur bondissait... Elle l'a toujours aimé et ce sera toujours pareil mais elle ne pourrait pas lui faire du mal... Elle ne le pourrait pas...

Delfina n'avait donc aucun coeur ? Rappeler à Federico la voiture qui l'avait renversée... La jeune demoiselle la regardait, surprise et lassée... « Tu n'as vraiment aucun coeur, Delfina. Cette situation a été dure pour tout le monde et tu remues, une nouvelle fois, le couteau dans la plaie... » Mais bien sûr que non, elle ne pourrait jamais laisser les frères et soeur de Federico sans tutrice.. Elle n'avait jamais été présente pour eux. Elle ne les traitait qu'avec des menaces, des plans pour les détruire eux aussi. Florencia était dégoutée et tourna le regard un instant. Florencia devait tout dire à Federico. Elle ne peut lui mentir.

Cette bonne femme était prête à tout pour anéantir Federico. Elle venait de parler de Maximo. Florencia levait les yeux au ciel : elle était incorrigible. La jeune femme prit la main du Don Freezer. « Tu dois savoir ce qui s'est passé pendant ton absence. » Elle se montrait courageuse, certes mais elle avait peur, son angoisse reprenait à nouveau. Ils étaient installés sur le canapé du salon. Regardant un instant leurs mains entrelacées, Florencia levait ses yeux sur Delfina, qui restait plantée là avec un sourire satisfait sur les lèvres. Son regard se reposa sur Federico. « Maximo est devenu le tuteur des enfants car tu l'as choisi. Les débuts avec lui étaient difficiles, nous ignorions si nous devions lui faire confiance car nous ne le connaissions pas... Mais avec le temps, les enfants ont appris à l'aimer, à l'apprécier... Ils voyaient en lui un grand frère... » Elle lui parlait presque en chuchotant. Le mot : grand-frère devait rappeler à Don Freezer qu'il avait donné un peu de lui dans le corps du comte. « Mais une chose s'est passée... Mes sentiments envers lui ont changé et j'ai commencé par tomber amoureuse de lui mais je ne pouvais pas. Je t'ai fait une promesse : ne jamais te trahir et le fait que mon coeur ressente cela, ça m'a tué. Je ne pouvais pas me le permettre. J'ai tout fait pour ne pas l'aimer jusqu'au moment où j'ai découvert un enregistrement où il y avait Maximo et toi... » Ces derniers mots Delfina ne devaient pas les entendre. Florencia a tout fait pour qu'elle ne découvre pas l'existence de cette vidéo. « Je me sentais vraiment mal car mon coeur ne pouvait t'oublier et je t'aimais plus que tout au monde Federico. Cette vidéo, tu m"a donné la permission de l'aimer et de te chercher dans ses yeux. » Florencia s'arrêtait là. C'était vraiment dur de lui dire ses choses alors qu'il revenait d'entre les morts. Elle se détestait... Un regard froid se posa devant le regard de Delfina. « Don Minimo n'a jamais pu croire que tu étais une personne malfaisante. Pourquoi, je l'ignore. Mais je te jure que jamais tu ne feras quoique ce soit envers les enfants, jamais. » Avait-elle prononcé en s'étant posté devant elle. Elle devait le savoir mais Florencia le redit, tout simplement.

Elle ne savait pas comment réagir avec Federico. Sa main était posée sur son coeur... Les larmes lui montaient aux yeux... Cela lui faisait du mal car elle faisait du mal à Federico... Honteuse, se détestant : « Repose toi Don Freezer, tu en as besoin. »


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MessageSujet: Re: Federico Fritzenwalden est vivant, il est vivant ! [Tout le monde]   Federico Fritzenwalden est vivant, il est vivant ! [Tout le monde] Icon_minitimeJeu 2 Sep - 14:30

Federico avait donc raté tant de choses ? Il essayait de se souvenir, mais sans réussite. La dernière chose qu'il se souvient, c'était à la sortie de l'église avec Florencia. Il l'avait embrassé, et puis il avait décidé de partir à la recherche d'un homme... Peu à peu, sa mémoire revenait, Fede se souvenait de cette maison, avec toutes ces photos, avec toutes les magouilles de Delfina. A ce moment là, Federico était décida à retrouver le complice de la sorcière. Peut-être que depuis ce temps-là, il avait été découvert, ou pas... En tout cas, une fois que tout serait reglé, le Fritzenwalden repartirait à sa recherche. Après tout, c'était un peu à cause de cet inconnu qu'il était rentré dans les magouilles de Delfina. Est-ce qu'elle était toujours aussi méchante, est-ce qu'elle agissait toujours avec cet homme ? Peut-être que seul Federico était au courrant de cette maison bourrée de magouilles. Ou bien peut-être que cet inconnu a été découvert et envoyé en prison, ou bien chassé loin de la maison. Encore une fois, Federico était complètement perdu, mais il finira par éclaircir le sujet, un jour ou l'autre.

Toujours enlacés, les deux amoureux furent interrompus par Delfina, qui dit à Flor d'un ton glacial, que Fede connaissait bien, "d'ôter ses sâles pattes de son mari". Don Freezer la regarda, d'un air étonné. Bon il est vrai qu'ils étaient officiellement mariés... Mais dans son coeur, il avait déjà fait son choix depuis longtemps. Federico n'aimait que Florencia, et pas cette sorcière... L'ainé répondit en lui demandant ce qu'elle faisait ici. Il ne s'attendait pas à sa réponse. Elle vivait donc ici ? Après tout ce qu'elle avait fait subir à la famille, elle avait le culot, et le droit de vivre dans la maison des Fritzenwalden ? C'était tout simplement inconcevable pour Federico ! Comment était-ce possible ? Mais il n'eut pas le temps de rappliquer, car elle enchaîna en lui rappellant leur mariage civil. Le Freezer avait complètement oublié ce petit détail, mais qui avait son importance. C'est vrai, ce mariage lui donnait le droit de vivre ici, malheureusement... Et, sans prévenir, elle lui crâcha au visage qu'il était cliniquement mort à cause d'une voiture qui l'avait renversé. Comme d'habitude, Delfina n'y allait pas par quattre chemins. Déjà, l'homme avait reçu trop d'informations en même temps. D'abord, la sorcière vivait ici, ensuite, il était mort, stupidement, par une voiture.

Malheureusement, les révélations n'étaient pas encore finies...D'abord, Federico devina rapidement que Delfina mentait, en disant que ça lui avait fait mal de le savoir mort. Bien sûr, il savait que c'était faux, entièrement faux. Et celle-ci s'en rendit vite compte, comprenant que le Freezer avait certes oublié quelques détails, mais se souvenait de la plupart des crasses qu'elle lui avait fait. Encore une fois, il n'eut pas le temps de répondre. D'abord, il lui fallait le temps d'assimiler tout ce qu'on lui disait, et puis de toute façon, Delfina enchaîner si rapidement qu'il n'aurait pas eut le temps de rappliquer. On aurait dit qu'elle voulait le faire mourrir une deuxième fois, en lui disait toutes ces choses si rapidement, sans que Federico n'ait le temps d'accuser le coup. C'était dur pour lui, et le calver n'était pas fini, d'après les expressions du visage de sa femme officielle, elle en avait encore dans le sac. Federico soupira, s'attendant au pire, et n'essaya même pas de parler, sachant que c'était peine perdue. Il ne restait plus qu'à rester là et à écouter toutes ces choses trop dures à entendre pour quelqu'un qui vient de sortir de la mort.

Ca y est, elle reprit la parole, annonçant que quelqu'un avait prit la place. Cela ne le dérengeait pas vraiment, il s'attendait à ce que ça soit Franco, Nico ou Matthias. Mais apparament, c'était Maximo, un ancien collègue de travail d'après les souvenirs du Freezer. Le plus étonnant, c'est qu'il l'avait soi disant nommé tuteur. Federico n'en avait aucun souvenir. Mais s'il l'avait fait, c'est que c'était un type bien. Donc cela ne le dérangeait pas vraiment. Le pire fut les dernières parole de Delfina. Maximo prit sa place dans tous les sens du termes... Bien sûr, Don Freezer avait tout de suite compris son insinuation. Bien sûr, il connaissait les qualités de menteuses de la jeune femme, il se tourna donc vers Florencia, cherchant une réponse dans son regard. Celle-ci se décida à parler, et de dire toute la vérité au Freezer, tout ce qui c'était passé pendant sa longue absence. Elle commença par dire que les débuts avec Maximo étaient durs, mais que les enfants l'apprécièrent de plus en plus. Federico était content pour eux, et pour l'instant, il n'y avait rien de bien méchant. A part la dernière phrase... Ils le considéraient comme une frère... Et Federico alors ? Les enfants l'avaient oubliés, et remplacés par Maximo, comme Delfina l'avait si bien dit juste avant ?


Mais il n'est pas un grand frère ! C'est moi leur grand frère ! Ils m'ont vraiment oublié ? Delfina disait donc vrai, Maximo a prit ma place ?

Mais la suite était bien plus dramatique...

En résumé, elle tomba amoureuse de cet homme. En tout cas, c'était tout ce que Federico avait retenu. Le reste, il s'en fichait. Les seules paroles qui le hanté étaient ceux-ci : "Mes sentiments envers lui ont changé et j'ai commencé par tomber amoureuse de lui". Un véritable coup de poignard, en plein dans le coeur de Fede. Il ne voulait pas y croire, lui qui était si content de la retrouver, elle l'avait tout simplement échangé pour un autre, ce Maximo... Ensuite, elle parla d'un enregistrement. Federico n'avait aucune idée de ce qu'elle parlait, et ne se souvenait pas du tout de cette cassette. Il avait beau cherché dans sa mémoire, il n'avait pas le souvenir d'une quelconque vidéo qu'il avait faite. Pourtant, il savait que Florencia ne mentait jamais, ou presque, et il lui faisait confiance. Mais malgrès tout, il ne voulait pas y croire. Comment aurait-il put donner la permission à sa Flor d'en aimer un autre ? Cette idée était inconcevable pour lui... Enfin, il eut le temps de répondre, et s'empressa donc de parler.


Je... Je ne me souviens pas de cet enregistrement... Je... Dis-moi que c'est faux, je t'en supplie, dis-moi que tu m'aimes encore... Florencia...

Une larme coula le long de sa joue droite. Il ne voulait pas être remplacé par un autre homme. Il voulait tout reprendre depuis la dernière fois, c'est à dire depuis la sortie de l'église, avec Florencia. Bien sûr, ça ne le dérangeait pas qu'il y ait un nouveau tuteur pour les enfants, surtout que, d'après Flor, il était très gentil avec les enfants, et que ceux-ci l'aimaient beaucoup. Mais il n'acceptait pas que celui-ci le remplace. Qu'il était soi disant un frère pour les petits, et le nouvel amoureux de sa princesse... Il passa une main sur le visage de Florencia, cherchant la vérité dans ses yeux, espérant que tout ceci était un cauchemard, et qu'il allait se réveiller...

En conclusion, tout le monde avait oublié Federico, même Florencia et ses propres frères ! Que Delfina l'oublie, il n'en serait pas étonné, mais les autres non ! Le temps d'une seconde, il eut même l'éspérance de retourner dans sa tombe, qu'il y était bien mieux que dans ce monde qui avait tant changé...
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MessageSujet: Re: Federico Fritzenwalden est vivant, il est vivant ! [Tout le monde]   Federico Fritzenwalden est vivant, il est vivant ! [Tout le monde] Icon_minitimeVen 3 Sep - 18:11



Le cœur de la jeune femme était meurtri : il se tordait de douleur, de tristesse mais également de joie en retrouvant son prince charmant de conte de fées. Elle l'avait toujours aimé et elle sait qu'elle aime encore aujourd'hui. Toutes les choses qui se sont déroulées durant son absence étaient inouïes, impensables : une histoire qui en faisait des frissons. Après lui avoir avoué tout ce qui s'était passé, elle savait très bien que toutes ses révélations seraient fatales. Florencia ne pouvait contenir ses larmes. Elle posa une main sur la joue de Federico. « Non, non, ne pense pas ça. Ils t'aiment et t'aimerons toujours. Tu seras toujours leur grand-frère. Tu peux pas savoir à quel point s'était difficile pour eux de savoir que leur idole, leur modèle, leur grand-frère était mort à cause d'un accident de voiture. Je ne t'ai jamais menti sur des choses aussi importantes Federico. Maximo, il... » Elle ne pouvait, plutôt elle ne voulait pas parler de Maximo dans l'état qu'était Don Freezer, c'était tout bonnement impossible mais elle devait bien le faire. Il devait se ôter de la tête que Maximo l'avait remplacé. « Il ne t'a pas remplacé Don Freezer. Personne ne pourra remplacer le grand homme que tu es. Oui, il est là et sa présence fait du bien aux enfants parce qu'ils ont un autre visage masculin au sein de cette famille. Ils l'aiment beaucoup mais jamais, jamais il n'a prit ta place. » Toutes les paroles qu'elle prononçait étaient souvent trahis par les larmes. Avec tout ça, Delfina se donnait plaisir en voyant la scène des deux jeunes amoureux. Elle était ravie de toute cette histoire, vraiment ravie. Les mimiques qu'elle faisait, Florencia ne prit compte de rien. Elle l'a laissait faire tout bonnement. La suite, par contre, est des plus douloureux.

Avant cet enregistrement qui avait tout déclenché, le cœur de la jeune croyante de contes de fées se concentrait que sur son prince charmant, Federico Fritzenwalden et sur les enfants.Cet enregistrement lui avait fait réaliser les paroles, les révélations de Federico. Elle est amoureuse de Maximo Calderon de la Hoya mais son amour pour Federico ne sait jamais totalement éteint. Une partie d'elle-même l'aime encore et toujours comme la première fois qu'elle ait croisé son regard, la première fois qu'ils se sont embrassés sous son arbre... Le jeune homme ne se souvenait pas de cet enregistrement... Il ne s'en souvenait pas. C'était pas possible. Tout cela s'est bien arrivé. En aucun cas elle ne pouvait mentir à propos d'une telle chose qui était très importante. Leur amour, la survie de leur amour s'est tenu à une cassette vidéo. Il fallait que Florencia la lui montre. Il fallait qu'il la croit et qu'il essaye de se souvenir. Sinon comment pourrait-elle le lui faire comprendre ? Le cœur de notre jeune croyante est détruit. Elle ressentait la peine et la souffrance qu'émanait de son prince charmant. Le simple fait de voir sa sœur se satisfaire de cette scène l'a faisait enrager mais ce n'était rien comparer au fait qu'elle souffrait de le voir ainsi. « Don Freezer, jamais je ne pourrais te mentir sur ça. Tu l'as bien fait. Tu ne t'en souviens pas mais je peux te la montrer. Depuis que je l'ai vu, je l'ai caché précieusement. Tu.. tu dois me croire... » Elle pleurait, elle pleurait. Ce qu'elle disait était sincère, il devait le savoir et le comprendre. Jamais, jamais, elle ne voulait le faire souffrir. La main de Florencia parcourait le visage de son prince charmant, cette dernière séchant de son doigt la larme qui avait coulé sur sa joue. Elle baissait les yeux, ses larmes tombant sur sa jupe. « Malgré que j'aime Maximo, je n'ai jamais cessé de t'aimer Don Freezer. » Avait-elle murmuré en allant dans ses bras. Cette situation était trop douloureuse. C'était vrai, elle l'aimait toujours. S'il n'y avait pas eu Maximo, tout serait parfait.

La jeune femme était restée longtemps dans les bras de son prince charmant. Son coeur balançait pour deux jeunes hommes aussi formidables l'un que l'autre. Il fallait pas cacher que Maximo allait se marier avec Delfina car celle ci a utilisé les mêmes faux coups que lorsqu'elle était avec Federico. Florencia souffrait, c'est vrai. Si Maximo tombait amoureux, réellement de Delfina, peut-être qu'elle pourrait vraiment vivre son conte de fées avec son prince charmant, l'unique mais tout ne se commande pas de la sorte. Ce serait bien trop facile. Elle les aimait. Si elle devait chercher la réponse à ses questions de cœur à ses fées, elles lui diraient qu'elle devait écouter son cœur. « Mon amour pour toi n'a jamais disparu. Je ne sais pas quoi faire mais... » elle laissait échapper un soupir, puis se sépara de lui afin de sécher ses larmes. « Mais tes frères t'aiment énormément et ils ne t'ont jamais oublié. Franco et Nicolas se demandent toujours ce que tu ferais dans une telle situation... Martin essaye d'analyser la situation en s'admettant que tu es toujours avec lui, avec eux et puis Tomas souffre encore de ton absence... » Il devait comprendre que ses frères l'aiment et l'aiment encore. Mais concernant Maia... « Maia, elle, Delfina a fait en sorte qu'elle soit loin de la maison. Elle est à Londres avec Mathias. Elle était malade et il devait être à ses cotés. Mais, tu lui manques atrocement. Quand on se parle au téléphone, c'est principalement pour me parler de toi. Federico tu es l'homme que personne n'oubliera. Ils seront heureux de te revoir depuis tout ce temps passé. » Les larmes de Florencia ne cessaient de revenir à l'attaque. Elle détourna son regard de lui, puis le reposa après quelques instants. « Je voudrais tellement que tout recommence depuis la sortie de l'église. Nous aurons vécu enfin notre belle histoire de conte de fées. » C'était étrange mais son cœur ne cessait de battre comme la première fois où elle avait croisé le regard de Federico. Soudainement, ses petites fées arrivèrent. Florencia séchait ses larmes d'un revers de main. « Pourquoi vous êtes là ? Est ce un signe ? Dites moi... ». Florencia revit les instants qu'elle avait passé avec Federico. Elle revivait toute cette histoire comme si cela s'était déroulé hier. Elle avait les yeux fermés, un sourire sur ses lèvres mais elle se réveilla immédiatement en ayant revécu l'annonce de la mort de Federico. Lorsqu'elle avait eu ses yeux ouverts, Federico regardait froidement Delfina puis il regardait vers le plafond comme si il avait vu les petites fées de Floricienta. « Federico... Tu vas bien ? » Il était bizarre comme si il se rappelait d'autres choses. Lorsqu'elle leva ses yeux vers ses fées, elles disparurent. Delfina... Elle la regarda. « Qu'est ce que tu lui as fait ? » En ce moment précis,Florencia était troublée. Elle voudrait reprendre là où tout s'est terminé avec Federico mais Maximo occupe une grande place dans son cœur et elle l'aime tout autant. Elle ne pourrait vraiment pas choisir entre les deux. Maximo... il a été la chose qui lui ait arrivé le mieux après la mort de Federico. Elle redoutait le moment où Maximo se montrerait dans la pièce. Florencia lui a parlé de sa relation avec Federico avant qu'il ne meurt : elle ne le lui cachait rien... Quoiqu'il en soit, Federico devait se reposer. Il en avait bien besoin. Bien sûr, elle manquait, aujourd'hui, de tact et les bonnes manières n'en étaient rien. Son cœur était en milles morceaux. Elle aurait voulu que sa mère soit auprès d'elle, qu'elle lui dise quoi faire ou même Tina qui était comme sa deuxième mère... C'était difficile... Mais Delfina en profitera largement. Soyez en sûr !

[HJ: Je trouvais qu'il manquait quelque chose donc j'en ai rajouté...]



Dernière édition par Florencia Fazzarino. le Sam 11 Sep - 2:47, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Federico Fritzenwalden est vivant, il est vivant ! [Tout le monde]   Federico Fritzenwalden est vivant, il est vivant ! [Tout le monde] Icon_minitimeDim 5 Sep - 21:50

Et bla, et bla, et bla. Patati, patata, tralala. Tout recommençait. Tout recommençait encore. Comme avant! Delfina ne pouvait pas laisser faire ça. Elle ne pouvait pas laisser cette affreuse scène pleurnicharde à souhait lui ruiner son bonheur. Ils rendaient tout cela tellement pathétique... Et dire qu'elle avait cru l'espace d'un instant pouvoir se divertir de leur malheur! La vérité était toute autre. Cette scène n'amusait pas Delfina. Oui. Vous avez bien lu, et vous pouvez le relire encore. Il n'y avait rien de marrant dans ces sordides retrouvailles, les explications lamantables et ponctuées de reniflements désagréables et désobligeants de la souillon. La seule chose à peu près, passablement et encore le mot est fort, drôle, c'était Federico. Oui, le Fritzer était le parfait pantin de Delfina. Toujours aussi blond, toujours aussi beau, il n'avait pas changer depuis qu'il avait récussité d'entre les morts, au bonheur de la brune: Elle perdait un mari faible et canon pour en gagner un anciennement froid et tout aussi beau. En gros, elle gagnait au change. Voilà, c'était dit. Flor pouvait bien garder Max, si elle voulait. Après tout, cela ne dérangerait jamais l'épicière de passer derrière Delfina pour ronger ses restes: Elle le faisait depuis toujours. Un exemple? La brune vous en donnera quatres: Son père, Federico, Max, Lorenzo... A cette simple pensée, elle eut des hauts le coeur, une nausée insoutenable si bien qu'elle pensa, l'espace d'un bref instant, à détourner la tête de ce qui aurait dut être son triomphe. Elle ne le fit pas. Elle devait être ferme, froide, face à tout cela, son sourire carnasier dévorant son sublime visage, lui donnant l'air d'une poupée machiavélique, un peu comme Chucky, mais en beaucoup plus belle et avec beaucoup plus de classe. Enfin, la belle s'égarait. Preuve du pathétisme de la scène. M'enfin. L'important n'est pas là: Elle renonçait officiellement à Max pour une durée indéterminée. Officieusement, bien sûr, elle n'hésiterait pas à se servir de lui, mais passons, voulez-vous? L'important, c'est qu'il lui semblait beaucoup plus facile de refroidir Federico, peut importait les horreurs qu'il savait sur elle, que d'enflâmmer Max. Et si elle refroidissait Federico, il reviendrait instantanément vers elle. Car quand bien même elle lui avait menti, triché, il verrait en elle sa seule alliée. Enfin, ça, c'était si Delfina réalisait le coup de maître qu'elle s'apprêtait à entreprendre, et elle comptait bien arriver à ses fins. Mais bon, disons que l'idée de devoir, même si c'était prémédité et totalement hypocrite, abandonner un de ses trophés à la souillon ne l'enchantait guère. Vous comprenez, n'est-ce pas? Et puis, de toute manière, Delfi n'a que faire de votre compréhension. Ce qui comptait, c'était le plan. Et, pour que le plan fonctionne, il fallait que cette scène arrête de n'être qu'une minable parodie de ce qu'était la romance dégoulinante de mievrerie de Fede et Flor, avant.
Alors, évidemment, elle ne put s'empêcher d'éclater de rire, alors que Flor epliquait à Federico que personne ne l'avait remplacer.


-C'est fou, mon coeur, à quel point la roue tourne. Et dire que tu croyais Flor inccapable de mentir... Bien sûr que Max t'a remplacé! Il est devenu l'homme de la famille. Un repère pour tes frères, même s'ils ne le voient pas comme leur grand frère. Et, plus que tout, il est aussi devenu un repère tout particulier pour notre petite Flor, n'est-ce pas Flor? Elle qui disait t'aimer, elle t'a bien vite oublié, si tu veux mon avis.

Son sourire s'élargit d'un cran. Voilà. Là, tout commençait à reprendre forme, à devenir divertissant. Mon dieu! Que la brune adorait avoir le contrôle de la situation! Tout était tellement plus... jouissif, vu de là où elle se trouvait, à tel point qu'elle ne pouvait s'empêcher de jubiler intérieurement, et, tant qu'à faire, un peu extérieurement aussi. Elle se reprit directement. Ce n'était pas avec cette attitude qu'elle arriverait à gagner l'esprit de Fede, mais c'était néanmoins la plus éfficace pour lui faire prendre une douche glacée, et le retransformer en ce glaçon qu'il était auparavant.
Et puis, ce fût le dérapage. Flor parlait d'une vidéo. Quelle vidéo? Pourquoi Delfina n'en avait pas connaissance? C'était affreux...Alors elle, la sorcière, serait entrain de perdre le contrôle de la situation? Elle se mordit l'intérieur de la joue pour tenter d'accélerer son cerveau, réfléchissant à pleine vitesse. Ce qui la rassurait, éventuellement, c'était que Federico semblait ne pas plus comprendre qu'elle. En un sens, c'était tout de même éffrayant: Il revenait d'entre les morts, et avait toutes les raisons de ne pas comprendre. Pas elle. Histoire de reprendre son emprise sur ses deux jouets, la brune soupira:


-Flor, Flor... Arrête de pleurnicher, veux-tu? Cela ne change rien à ce que tu as fait.Si tu as put tomber amoureuse de Maximo, c'est que ton coeur avait mis de côté Federico. Sûrement par résignation, puisque nous le croyions mort, mais tu as quand même pu l'oublier suffisament pour Maximo. Il t'es donc impossible... D'aimer Federico de la même manière que tu affirmais l'aimer avant.

Et puis, ce fût la goutte d'eau qui fit débordé le vase. Flor l'accusait de s'être débarassé de Maia. C'était totalement faux. Delfina n'avait jamais cherché à se débarassé de la gamine, même si son départ pour Londres la réjouissait au maximum. Celui dont elle s'était débarassé, c'était cet avocat trop encombrant qui avait servis de meilleur ami à Federico. C'était quoi, déjà, son prénom? Ah, oui! Mattias Ripamonti. Voilà. Lui, il aurait pu sérieusement lui mettre des bâtons dans les roues, même s'il n'avait pas été bien dur de le mettre hors circuit.

-Je ne me suis pas débarassée de Maia. Elle a toujours souhaité partir étudier à Londres, et j'ai respecté sa volonté, comme celle de Federico qui avait donné son accord pour son départ avant l'accident. En tant que tutrice des enfants, je ne pouvais toute fois pas laisser Maia sans adulte pour s'occuper d'elle, alors qu'elle était malade. J'ai donc envoyé Mattias, puisqu'ils étaient si proches. J'ai mal fait, Fede?

Demander l'avis de Fede. Lui faire croire qu'il avait encore une place dans cette maison, dans cette famille, et qu'il pouvait la réintégré, lui montrer qu'elle n'était pas si mauvaise et irrésponsable que cela, l'embrouillé. Oui, jusque là, Delfina s'en sortait plutôt bien.Et puis, Flor délira. Flor parti dans son monde magique, parlant à des amis imaginaires. Non mais, sérieusement, lorsqu'elle était comme ça, elle inquiétait presque Delfina. La brune commençait sérieusement à se demander si il fallait appeler les petits hommes en blanc pour qu'ils viennent chercher Flor et l'emmènent en hôpital psychiatrique quand Federico devînt bizarre. Ce n'était pas bon, ça. Définitivement pas bon. La brune se rapprocha de Federico lentement, oubliant qu'elle avait ratté une occasion de faire interner sa demi-soeur à vie pour se débarasser d'elle. Evidamment, Flor l'accusait. La brune lui lança un regard mauvais.

-Que je sache, ce n'était pas moi qui était entrain de délirer. Qui sait ce que tes...trucs...ont pu faire!

Joignant le geste à la parole, la belle décida qu'il vallait mieux pour elle aider Federico, et elle le guida doucement jusqu'au sofa, ou l'assis.

-ça doit être le contre coup de sa mort clinique. Tu devrais vraiment le laisser se reposer Flor. Ta présence est trop pour lui.

Bien sûr, la brune ne mentionna pas la sienne, de présence, sûrement tout aussi indésirable, puis se retourna vers Fede, s'accroupissant près de lui, comme on s'accroupie à côté des enfants, pour les mettre en confiance. Elle posa sa main sur celle de Fede. Autre tentative pour le calmer:

-Fede, tu veux quelque chose à boire?

Le plan était en marche, et elle ne laisserait pas filler ce rôle de gentille que Flor lui offrait, malgré elle, sur un plateau d'argent... Car après tout, dans le fond, Delfina ignore tout simplement ce qu'est la gentillesse.

[Hj: Désolée, poste trop décousu à mon goût ^^" Enfin, j'espère que vous aurez matière à répondre xD

Hj2: Aaaaaargh >.< Je viens de me rendre compte d'une énorme faute dans mon rp >.< Théoriquement, donc, Fede et Flor sont déjà assis sur le canapé (j'imagine plus Delfi toujours debout xD). Bref, mettons donc que Delfina n'a pas assi Fede dans le sofa, mais c'est approché de lui, genre, le forçant à se détendre, ça sera plus cohérent, en soit. Je sais que je devrais modifier, mais la motivation n'est pas là ^^' Enfin, j'en tiendrais compte pour mon prochain rp Very Happy]

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MessageSujet: Re: Federico Fritzenwalden est vivant, il est vivant ! [Tout le monde]   Federico Fritzenwalden est vivant, il est vivant ! [Tout le monde] Icon_minitimeDim 10 Oct - 20:23

Comment est-ce possible de comprendre une histoire aussi compliquée, après être cliniquement mort pendant 1 an ? Même en essayant de décortiquer le tout, il n'arrivait pas à comprendre la moitié de ce qu'on lui disait. Déjà, Floricencia occupait une grande partie de sa réflexion. Elle était si jolie, si pure, si... Il pourrait lui trouver des qualités pendant des heures. Pourtant, ils n'arriveraient jamais à vivre heureux. C'était leur destin. Chez Federico, le bonheur n'existera pas. Mais il avait déjà ressenti le bonheur, une fois. Juste avant son soi-disant accident. Enfin heureux avec Flor et les enfants ! Hé bien ce bonheur avait peu duré. Quelques heures peut-être, sans plus. Oui, cet accident avait tout gaché, tout ! Etait-ce si dangereux de tomber amoureux ? Etait-ce "mortel" ? Pourtant, pour vivre heureux, il faut vivre amoureux non ? Apparement, c'était faux, Federico en était la preuve.

Et puis il y avait toujours ce Maximo. Le Fritzer avait quelques souvenirs de lui, il était son collaborateur avant sa mort. Un comte assez important d'après ses souvenirs. Et les dires de Florencia confirmaient qu'elle était tombée amoureuse de lui. Le pire, c'était Delfina, qui lui avoua que sa mort était due à Maximo. Federico s'était sacrifié pour lui. Bien sûr, il n'en avait aucun souvenir, ce n'étaient que les paroles de Delfina... Mais en tout cas, cela coïncidait, et elle disait certainement vrai, car Florencia ne démentit pas. Pourtant, Florencia se défendait en disant que "Max" ne l'avait pas remplacé, qu'il était juste une présence masculine dont les enfants avaient besoins. D'accord, ça, il pouvait comprendre. Mais il y avait une chose qui le gênait beaucoup. Florencia était tombée amoureuse du comte. Elle l'avoua elle-même. Et, n'ayant pas perdu ses habitudes, Delfina en rajouta une couche, tout d'abord, elle éclata de rire... Ensuite, elle déclara que Maximo l'avait complètement remplacé, et que Flor était folle amoureuse de lui. Qu'elle avait oublié son Fritzer... D'un sens, le Fritzenwalden comprenait car Florencia avait le droit d'aimer quelqu'un d'autre qu'un mort. Le problème, c'est que maintenant, le mort est revenu à la vie... Federico avait le pouvoir de comprendre, mais il ne voulait pas. Il ne voulait pas être réaliste et avouer que Florencia avait eu le droit d'aimer Max. Il était jaloux, même s'il fut cliniquement mort. Malgrès tout, il ne pouvait pas lui en vouloir. L'amour rend aveugle, et Federico avait beau essayer, il n'arrivait pas à être énervée contre sa princesse de comtes de fées. Prenant la parole, il se tourna vers Florencia


Je... je ne peux pas t'en vouloir, vous me croyiez tous mort, et il est normal que tu ne sois pas amoureuse d'un mort toute ta vie. Malgrès tout je... Enfin... Je ne peux pas m'empêcher d'être déçu... Je sais que je ne devrais pas, mais il faut me comprendre...

Oui, l'homme au coeur de glace était déçu, car sa princesse s'était envolée vers les bras d'un autre. Heureusement, elle lui avoua qu'elle l'aimait toujours. Ca avait eut le don de rassurer légèrement le Fritzer, même s'il était toujours autant effrayé face à son avenir en amour. Est-ce qu'il arrivera à reconquérir Florencia, malgrès sa mort et l'apparition de Maximo ? Rien n'est moins sûr...

Mais l'explication n'était pas finie, loin de là ! Florencia défendit son idée quant à l'apprition de la cassette où, d'après elle, Federico lui demandait d'aimer "Max" et de le chercher dans ses yeux. Et directement Delfina rappliqua rapidement, déclarant qu'elle ne pourrait plus jamais aimée le Fritzer comme avait. Exténué, il n'eut pas le courage de répondre, et préféra écouter à nouveau Florencia. Elle déclara que Deflina avait fait un nouveau coup bas, en envoyant Maia à Londres, avec Matthias. Encore une fois, Federico ne prit même pas la peine de réfléchir, sachant pertinemment bien que Delfina allait répondre. Et c'est ce qu'elle fit. Elle se défendit en disant qu'elle n'avait pas chassé Maia, mais l'avait juste autorisé à aller à Londres, en compagnie de Matthias. Voulant parraître gentille, elle demanda, souriante, si elle avait bien fait. Federico répondit par un simple hochement de tête positif. Il ne voulait pas rentrer dans un nouveau débat, et préféra donc acquiesser, sans rappliquer.


Je préfère parler des enfants avec les principaux concernés, c'est à dire eux. Je pense qu'il seront plus aptes à me répondre.

Cela faisait déjà une chose en moins à penser pour l'instant. Mais entre ces deux femmes, il était difficile de penser, de réfléchir, tellement elles parlaient et se contredisaient. C'était vraiment dur à suivre, et puis, qui croire ? Bien entendu, Fede préférait croire Florencia qui ne lui avait jamais menti, ou presque. Tandis que Delfina lui avait joué tous les mauvais tours possibles et imaginables... Le choix était vite fait ! Mais il les écoutait toutes les deux, avec la même attention. Cette discussion fut interrompue par un trou noir...

Non, non, que ce passe-t-il ? Des lumières apparurent, éclairant Federico. Il était seul, dans le noir accompagnée de petites fées lumineuses. Pendant quelques secondes, il crut que tout ceci n'était qu'un rêve. Puis il y eut un défilement d'une dizaine d'images. Tout d'abord il aperçu la scène de sa mort, mais l'image fut coupée par une autre, où il se vit parler face à une caméra. Etait-ce donc ça, l'histoire de la cassette ? Florencia disait vrai ? Malheureusement, le Fritzer n'eut pas le temps d'analyser, à nouveau, trou noir...

Il revint à la réalité, ce qui le soulagea un peu, cela prouvait qu'il était bien vivant, de retour de la mort. Par instint, il se retourna vers Delfina assez méchament, pensant qu'elle lui avait fait quelque chose pour qu'il y ait ce soudain trou noir. Ce n'est que quelques secondes plus tard qu'il réalisa que tout ceci venait des petites fées. Il regarda en l'air, essayant de les apercevoir, mais elles avaient disparues. Fede décripta ce qu'il venait de voir. Son accident, puis, une vidéo... Tout cela était encore flou, mais il savait que les pièces du puzzle était en train de s'assembler. Il en était intimement persuadé. Oui, bizarrement, il était certain que tout cela allait être éclarci assez rapidement.


Je ne sais pas ce qu'il s'est passé... J'ai vu... Des fées ?! Et des images aussi... Mais qu'est ce qu'il se passe ?!

Cette question était posée bien evidemment à Florencia. Depuis peu, Federico croyait en ces petites fées, et il venait des les voir, pour une des premières fois ! Seule Florencia avait peut-être la réponse à sa question...
Ou bien tout ceci n'était qu'une allucinantion due à sa subite remise en vie...
Mais pour l'instant, Delfina s'agenouilla devant lui, lui demandant s'il voulait à boire. Federico répondit positivement, ça lui faisait une excuse pour rester quelques secondes seul avec Florencia. Il ne considéra même pas cet acte comme une gentillesse, tout ce qu'il voulait, c'était de parler à Flor en face à face... Le Fritzer attendit patiemment que Delfina quitte la pièce et que Florencia prenne la parole.

[Désolé si des fois ce n'est pas cohérant ou peu compréhensible, mais Delfina était tellement impatiente que j'ai dû poster en vitesse xD]
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MessageSujet: Re: Federico Fritzenwalden est vivant, il est vivant ! [Tout le monde]   Federico Fritzenwalden est vivant, il est vivant ! [Tout le monde] Icon_minitimeMer 3 Nov - 16:52



Delfina n’avait pas hésité de se faire passer pour la petite gentille. Florencia sentit une colère s'émaner d’elle lorsqu’elle entendit sa grande sœur dire à Federico qu’elle l’avait totalement oublié, qu’elle l’avait, définitivement remplacé par la venue de Maximo. C’était faux, bien entendu. Elle avait répliqué quelque chose concernant Maia. Cette dernière avait été malade, elle est partie à Londres. Elle a presque obligé Matthias de la rejoindre à Londres puisqu’elle sait très bien que les enfants et Florencia auraient eu besoin de lui. Les pensées de la jeune Floricienta ont été mélangées. Elle ne préférait ne rien dire pour le moment. Le comportement de la jeune femme rendait heureuse Delfina puisque Florencia lui tendait une gentillesse sur un plateau d’argent. La jeune croyante de contes de fées regardait son jeune prince. Il lui avait dit qu’il ne pouvait pas l’en vouloir, qu’elle ne pouvait pas continuer à être amoureuse d’un mort. « Federico, tu ne peux pas dire ça. Je t’aime, je n’ai jamais réussi à t’oublier. Tu as été mon véritable premier amour. Tu le resteras… Je… je te comprends… » En réalité, la jeune femme ne savait pas quoi lui dire. Elle se sentait mal de le voir ainsi. Elle se sentait mal de le faire souffrir sans qu’elle ne l’ai réellement voulu. Comme je l’ai énoncé plus haut, concernant les enfants, donc Maia, elle s’était emmêlée les pinceaux mais il était vrai que Delfina s’était fait un réel plaisir de se débarrasser d’eux. Nous ne pouvons pas dire que la très chère soeur de Florencia avait une seule attention bonne. Florencia espère, a toujours cette lueur d'espoir qu'elle changera un jour. Elle veut l'aider. L'aider à aller mieux dans sa peau, à connaître le bonheur, l'amour... Elle a vraiment envie de l'aider mais après toutes les mauvaises choses qu'elle lui avait faite, la jeune Fazzarino n'a plus le courage, l'envie de l'aider à affronter ses peurs, ses démons.

Federico était plongé dans un trou noir. Florencia était inquiète puis elle vit de petites lueurs s’illuminer au dessus de sa tête. Elle comprenait l’état soudain de son prince charmant. Elle ignorait ce qui s’était passée. Elle ignorait ce que ses petites fées lui avaient fait. Elle était indécise. Avant de comprendre que c’était l’œuvre de ses petites fées, elle pensait que sa grande sœur sorcière lui avait fait quelque chose qui expliquerait cet état soudain. La jeune femme était déconcertée par ce que faisaient ses petites fées lumineuses. Elle ignorait ce qui se passait. Seul Federico était le seul à savoir ce que les fées lui montraient. Bien évidemment, Florencia ne savait pas quoi dire et elle avait cessé, pendant un instant, de verser quelques larmes. Quelques instants passés, le jeune chef de la famille Fritzenwalden prit, enfin, la parole. Il disait qu’il avait vu des fées, des images… Florencia le regardait, elle le croyait. Les fées voulaient qu’il découvre la vérité… Elle venait de s’en rendre compte… Mais comment lui expliquer très exactement ce qui s'était passé puisqu'elle n'avait pas vu véritablement ce que ses petites fées lui avaient dévoilés. Néanmoins, elle l'aiderait à y voir plus clair. Il est clair qu'elle n'arrivait pas à croire que ses fées avaient intervenues le jour de son retour. Elles auraient pu lui laisser du temps, du répis avant qu'il ne découvre tout. Delfina s'était agenouillée, proposant à boire au jeune prince charmant. Federico avait répondit positivement à sa demande. Florencia n'adressait pas un seul regard à sa grande soeur. Cette situation était gênante et elle n'avait vraiment pas envie de voir son visage de bonne samaritaine. Cette dernière quittait la pièce, en prenant la direction de la cuisine, laissant ainsi, les deux jeunes personnes seules.

La jeune croyante de contes de fées posa son regard sur Federico puis prit sa main doucement. Elle la regarda pendant quelques secondes. « Je crois que mes petites fées veulent que tu découvres ce qui s'est passé. Ton accident, la venue du Comte, la tristesse qu'ont eu toute ta famille et qui continue encore et encore... » Elle était encore toute émue, ses larmes avaient séchées le long de ses joues : elles n'allaient pas tarder à recommencer leur chute du Niagara. « Tu sais, je n'ai pas envie que tu découvres tout en un seul coup. Tu es revenu, tu as râté tellement de choses. Je n'ai pas envie que tout ce qui va se passer, à présent, t'épuise. » Malgré tout, le jeune homme voulait vraiment savoir et avoir le fin mot de toute cette histoire. « Je ne sais pas ce que les fées t'ont montré. Elles ont pu se montrer, très brièvement, ton accident ou autre chose. En tout cas, tu n'as pas rêvé, tu n'es pas fou. Tu les as vu... Elles veulent que tu découvres par toi même ce qui s'est passé après ton accident. Ses images peuvent te servir à reconsituer ce puzzle. » Avant même qu'elle n'ait pu poursuivre son explication, les fées firent leur retour. « Les filles, arrêtez ! Ce n'est pas bon pour lui de tout savoir en une seule journée... » « Florencia, il doit savoir. Vous avez tellement souffert. Le jour où vous auriez pu vivre une belle histoire d'amour entourée de tes petits, a été détruit. Te rappelles-tu à quel point tu as souffert ? Tu as fermé ton coeur. Tu voulais remuer ciel et terre pour retrouver ton prince charmant. Maintenant, il est là. Il faut qu'il sache, Florencia. Pour votre amour... » Florencia baissait les yeux, les larmes coulant le long de ses joues. Elles avaient raison. Federico avait entendu toute cette conversation. Les fées ont fait en sorte qu'il puisse tout entendre. « Federico, nous allons t'aider à ce que tu saches ce que ton coeur a envie de savoir. Tu dois, sans doute, te rappeler, ce que tu as découvert avant que tu n'ailles à l'église. Tu sais ce qu'est Delfina. Nous te donnons la chance d'être, enfin, heureux avec ta princesse. Saisie cette chance. Fais en sorte que tout redevienne normal. » Cette fois ci, Florencia n'avait rien entendu mais elle voyait bien que Federico écoutait. Soudain, Federico fut plongé dans un autre monde. Des images défilaient, et défilaient. Des images de son accident, l'instant où il fit en sorte que Maximo soit tuteur de sa famille, la séquence concernant la vidéo et une séquence concernant Delfina et Lorenzo... Cette séquence était floue, très floue... « Federico, Federico..... qu'est ce qui ce passe ? Ne me laisse pas une seconde fois, Don Freezer... » Elle s'était mise près de lui, caressant sa joue, ses cheveux.

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