Delfina Santillan Torres-Oviedo

Y eres mala muy mala, la reina de las mentiras

Nom & Prénom:Santillan Torres Oviedo, Delfina (d'accord... Monaco Santillan Torres-Oviedo, mais le "Monaco" ne compte pas) Age:24 ans Date de naissance:Le deux août Signe Astrologique: Lion Classe: Heureusement pour moi, j’ai fini l’école il y a quelques temps déjà Type d'élève:Ai-je préciser que je n’étais plus à l’école ?

Description Physique:

La boca con mas besos y menos corazon

Le plus marquant, dans l’apparence physique de Delfina, est sans doute sa beauté. Oui, dès qu’on l’aperçoit, c’est l’évidence même : Elle est belle et élégante. Seulement, cette élégance lui donc un caractère froid, inaccessible et garce. Elle est du genre a tiré ses cheveux en arrière, et a se les lisser quotidiennement, puisqu’elle les a frisés à la base. Bref, Delfina pourrait personnifier la beauté, si elle ne paraissait pas si inaccessible. Sans aucun doute, elle est digne des plus grands tops-modèles : Ses jambes sont interminables, elle se tient toujours droite comme un i et a une démarche féline. Bien sûr, la jeune femme aux cheveux noirs et aux yeux noisettes a un visage ovale, des traits fin, un nez fin et des lèvres, vous l’avez dans le mille, qu’on ne pourrait pas qualifier de « pulpeuses ». Ses dents sont, quand à elles, d’une blancheur éclatante. Elle a pour habitude de porter des chaussures à talon aiguille, qui font un bruit fou et agaçant lorsqu’elle marque, comme le martellement de la pluie drue contre une vitre, et de porter des vêtements de marque.

Description Morale:


Voyons ? Qui est Delfina ? C’est bien peu de le demander. Avant toute chose, la brune peut sembler être une véritable garce, comme on en voit dans les films américains : Elle est narcissique, égoïste, obsédée par son image et par les accessoires de marques, manipulatrice, hypocrite, menteuse, et je pourrais continuer la liste un long moment. Seulement, la brune a aussi des qualités : Elle est déterminée, bien sûr, cela la rend aussi têtue, mais reste une qualité non négligeable. La jeune femme a tendance à (trop) se battre pour ce qui lui tient à cœur. Elle sait aussi quels sont ses valeurs, et peut paraitre excessivement forte et froide de l’extérieur, alors que c’est tout le contraire : Delfina est avant tout un être humain. Endoctrinée par sa mère depuis sa naissance, cette dernière (Malala, comme elle se fait appelé) a tout mit en œuvre pour que le lavage de cerveau de son aînée soit parfait, complet, qu’elle n’ait rien d’autre dans la vie que des rêves de gloire, de fortune, de beauté et d’apparence, en bref, qu’elle soit superficielle, tout en restant intelligente, car une fille idiote et superficielle n’aurait aucun intérêt. Cela a tellement bien fonctionné que Delfina ne sait tout simplement pas comment vivre autrement. Bien sûr, en théorie, elle sait ce qu’est la gentillesse, l’honnêteté, l’humilité, mais elle a beau voir les autres se comporter ainsi, elle n’arrivera jamais à le reproduire : On la programmé pour être belle, garce et prête à tout, à son plus grand déplaisir. Oui, car Delfina souffre de cette éducation, plus qu’elle ne l’avouera jamais : Elle souffre de voir les gens adorer les personnes gentilles et adorables comme Flor (qu’ils détestent Delfi, elle s’en moque, le problème est qu’ils adorent la nounou des Fritzenwalden)… Elle en souffre, tout simplement parce qu’elle ne sera jamais capable de comprendre le pourquoi du comment de cette adoration, alors elle est affreuse avec tout le monde, avec Flor, et espère rendre sa mère fière, ne pas tout raté. Sa plus grande hantise est donc de perdre tout ce qu’elle a : argent, beauté… Elle sait parfaitement que si cela arrive, elle ne sera plus rien, et n’aura plus personne pour être fière d’elle ou la relever. Oui, Delfina est fragile, beaucoup plus qu’aucun d’entre vous ne peut l’imaginer.

Histoire:


Delfina est née. Il n'y a pas de doute possible, tout comme c'est une certitude que l'enfant était une fille, aussi brune que sa mère, avec les mêmes yeux brun foncé indescriptiblement remplis de vie. Oui, contrairement à ce que l'on peut penser, les yeux de la jeune femme n'ont pas toujours été emplis de mauvais présage, de malheur, de haine et de folie. Il fût un temps où elle était vive et joyeuse. Cela ne dura qu'une seconde, précieuse et unique seconde de vie. Oui, Delfina, tu courreras à ta propre perte avant même d'avoir une conscience ou assez de culture et de disernement pour comprendre l'enfer auquel on t'a destiné. Tu n'as jamais voulu cela, mais comment pouvais-tu le comprendre? A un jour, on ne comprend pas. Alors, on braille comme une folle, pour montrer qu'on est en vie. On appelle maman, on appelle papa. Et papa, il est où? Bien sûr, il ne viendra pas. A l'hôpital, tu ne connaitras les bras que des infirmières, ta mère refusant de te porter, car tu étais trop bruyante, trop fatiguante. Déjà à ce moment là, elle avait en tête de faire de toi ce qu'elle n'a jamais pût être: Une jeune femme riche, ne connaissant pas la misère, à son image. Elle voulait pouvoir être fière de toi, pouvoir vivre à ton crochet lorsqu'elle serait vieille. Elle ne voulait pas ton bonheur, mais sa propre félicité, et t'imaginais déjà d'une beauté froide sans borne, délicieusement impossible à vivre pour tes amants futurs. Rentrée à la maison, cettee grande villa avec un immense jardin, aussi froide que le marbre. Pas un bruit n'y régnait, et c'est donc dans une baraque sans vie que tu vécus toute ton existence. Sans vie, tout comme toi. Petite déjà, tu haissais ta soeur, ta mère te formant impunément à son image. Ton père ne t'a jamais raconter dee conte de fée, ta mère changeait leur fin de tel sorte que les méchants vénaux et manipulateurs gagnent et atteignent leur but. Tu n'as jamais vu Cendrillon se marier. Cela ne t'as pas perturber, puisque tu ne savais pas. Tu ne voyais qu'une seule chose: ta soeur était stupide, laide, moins bien que toi. C'était ce que ta mère te répétait sans relâche, venant de ta génitrice, cela ne pouvait donc qu'être vrai pour ton esprit d'enfant sans jugement ou esprit critique. On répète aux enfants qu'ils ne sont pas moins bien que les autres, à toi, on n'a eut de cesse que de te répéter que tu étais meilleure. Tu grandis donc, enfant insoutenable, capricieuse, méprisant tout le monde étant différent, pas de ta classe sociale. Ta mère t'inculquait sans cesse les mêmes principes, les mêmes valeurs "apparence et fortune", ainsi que l'adage "ne jamais donner son coeur à un homme". Maria Fritzenwalden t'adorait, et tu étais donc naturellement la meilleure amie d'enfance de Fede. Jouet préféreé de ta mère, poupée de taille humaine, Maria ne tarda pas non plus à se prendre au jeu en voyant ta grâce et ton charisme déjà inné pour une petite fille. En une seconde, tu n'étais plus une amie pour son fils aîné, mais sa future femme. ta mère, trop heureuse de ce revirement, ne fera qu'encourager Maria durant toute l'existence de la blonde. Ton père, quant à lui, était toujours froid. Tout l'amour qu'il avait en réserve, il le donnait à Sofia, malgré ses occupations nombreuses. Avec toi, l'aînée, la préférée de ta mère, il était juste tout le temps trop occupée. Pourtant, tu es née pour être aimée de tous, adulée. Ta mère te l'a dit. Elle ne peut pas t'avoir menti. Commet une mère mentirait-elle à sa propre fille? Ton père ne t'aimait donc pas. En cherchant bien, tu en arriva à l'irrémédiable conclusion qu'il y en avait une autre, qui te volait ta part d'amour paternelle, et ça faisait mal. Cela fait mal, lorsque le premier homme de votre vie ne vous dit jamais "je t'aime", lorsqu'il ne vous dit jamais "je suis fier de toi", mais "tu devrais faire ça autrement". Quoi que tu fasse, ce n'était jamais assez bien. Tu pouvais gagner des premiers prix de danse ou d'équitation, il ne les voyait pas, s'en moquait. Ainsi, Delfina eut de nombreuses activités, où elle excelait, qu'elle abandonnait toutes unes par unes en voyant que cela laissait son père de marbre. Elle avait de bonnes notes, était une sainte, n'avait pas de petits amis. Et puis, elle s'est rendue compte que quoi qu'elle fasse, cela n'y changerait rien, et elle commença donc à sortir comme tout les jeunes de son âge. Populaire, adulée, elle passait de petit ami en petit ami, les rendant amoureux, tirant ce qu'elle pouvait, puis les abandonnant. Garce allumeuse, elle se rebiffait sec contre le fait d'un mariage arrangé entre elle et Fede, et entendait s'amuser, profiter de sa vie, et ne se caser que lorsqu'elle en aurait marre. C'est à cette époque là qu'elle en eut marre, lorsqu'elle rencontra Lorenzo, sur un marché aux artisans. D'abord les bagues, bijoux normaux mais bien travaillés, puis lui, hippie sans le sous, qui l'a immédiatement séduite. Le coup de foudre était violent, irréversible, et des deux côtés. Ils apprirent alors à se connaitre, lui n'y allant pas par quatre chemin, et devinrent vite inséparables, au grand damn de sa mère, qui tenta en vain de les séparer. Quoi qu'elle fasse, cela ne les raprochaient qu'un peu plus. Au lieu d'aller en Europe, Delfina passait donc tout ses étés avec lui, à faire du camping et à profiter de son existence, du fait qu'elle était éperduement amoureuse, passionnée. Très douée en langues vivante, elle prétextait de s'en aller pour travailler, mais restait avec lui. Il devînt son monde, son univers, son coeur, son oxygène, sa bouée de sauvetage, son grand amour. Il faisait partie intégrante d'elle, et la rendait inévitablement meilleure, chose qu'elle croyait incapable chez elle. Elle apprit à confectionner des bijoux et autres choses, et tout un tas d'autres trucs. Elle était heureuse, vraiment heureuse, et ce pour la première fois de sa vie. Elle n'aspirait plus qu'à conserver jalousement ce bonheur. Seulement, les parents des Fritzenwalden ne tardèrent pas à mourir. Cela lui fit un choque, plus que jamais et plus qu'elle ne l'aurait cru, et elle prit peur. Peur d'être trop néfaste pour Lorenzo, peur de cette vie à deux remplie de trop de bonheur, convaincue qu'elle était qu'elle ne pourrait pas être heureuse toute sa vie, qu'un drame se passerait et qu'elle le perdrait à jamais. Ne pouvant s'y résoudre, elle le quitta, pour ne pas avoir à le perdre. Ironie du sort, elle souffrit quand même à en mourir, dépréssive qu'elle était. Elle prétexta ne pas pouvoir vivre sans argent, avoir prit peur de la misère et être une femme vénale. C'était faux. Bien sûr, vivre sans argent n'était pas rose tout les jours, elle s'en plaignait parfois, mais pas au point de le quitter. Qu'importe, il la cru, ou sembla la croire, et ne tenta pas de la retenir. Ce fût donc à l'enterrement des parents de Federico qu'elle revût ce dernier et, poussée par sa mère, se rapprocha de lui. Par on ne sait quel miracle, ils finirent ensembles. Delfina n'était pas heureuse, avec toute cette fratrie qu'elle n'aimait pas. Oui, Delfina n'avait jamais pût supporter les familles nombreuses, les enfants volant l'attention qu'elle ne cessait de réclamer. De l'attention. Cette soif d'attention la perdra, la forçant à détruire toutes ses relations. C'est en revenant d'un voyage d'affaire avec Federico que la nounou, la souillon, l'épicière, fit irruption dans sa vie. Comble du comble, c'était sa demi-soeur. Ne pouvant l'accepter, ne pouvant accepter de se voir abandonnée par son fiancé, dont elle avait besoin, et dont elle convoitait l'argent à cause des problèmes d'héritage à la mort de son père, Delfina devînt donc pathétique, utilisant stratagèmes sur stratagème pour le retenir. Il était à elle. Ce n'était pas tant qu'il aime Flor, juste de se voir délaisser de nouveau, qui blessa Delfina en premier. En deuxième, elle ne supporta pas qu'il aime Flor, et que ce soit réciproque. En troisième, que tout le monde le sache. C'est pour cela qu'elle commença à le tromper, avec Pedro, le chauffeur de la maison irrésistiblement canon. Ce n'était pas tant qu'elle l'aimait, mais qu'il redoublait d'attention envers elle. C'était ça, oui: Pedro n'aurait jamais d'yeux que pour elle, elle serait le centre de sa misérable vie, et cela lui faisait du bien, d'être importante pour quelqu'un parce qu'elle était elle-même, et non pas parce qu'on pouvait se servir d'elle comme le faisait sa mère. Alors oui, elle appris à aimer Pedro, à aimer l'attention qu'il lui portait. Il aurait décroché la lune pour elle, mais ce n'était pas suffisant. Il lui fallait l'attention de Federico. Elle le poussa jusqu'au mariage en prétextant une maladie en phase terminale. Pourtant, le retour de Lorenzo chamboula tout, elle retrouvait enfin cette attention, ce bonheur qui lui avait tant manqué et que même Pedro ne lui donnait pas totalement, malgré ses éfforts. Entre eux, c'était chimique, insoutenable. Pourtant, Fede découvrit tout et, après s'être marié civilement, la planta devant l'autel de l'Eglise. Détruite, la brune ne s'en remit pas. Heureusement, il eut la bonne idée de tenté de sauver son associé, Maximo, d'une voiture, et mourrut sur le coup, du moins, elle le croyait. Elle prit donc les plein pouvoir, despote tyrannique et sans coeur, mais l'arrivée de Max chamboula tout. Elle décida donc qu'elle le voulait, souhaitant avant tout vaincre sa demi-soeur qu'elle haïssait, lui prouver qu'elle aussi pouvait être aimée. Et elle l’eut, mais à quel prix ? L’homme était fou de Flor, malgré leur mariage et, pire que tout, l’unique amour de sa vie l’avait lui aussi laisser tomber pour la souillon. Ne pouvant supporter de le perdre, de perdre tout ce qu’elle avait de plus cher, Delfina perdit pied, se retrouvant avec la tête sous l’eau, et sa fragile santé mentale volant en éclat. Seulement, Fede est de retour, et tout risque de changer…


Sa passion:La mode
Son style de filles/gars:Riche, grand, musclé, athlétique, avec un sourire charmeur, n’ayant d’yeux que pour elle… Malheureusement, il se trouve que celui qu’elle aime ne correspond pas totalement à ces critères
Sa qualité: A l’extérieur, elle est magnifique, à l’intérieur, elle fait preuve d’une logique imparable.
Lieu de résidence: Villa Fritzenwalden
Son style de fréquentation: Imaginez-vous tout le gratin de la Jet-set : Beaux, riches, souriant, sachant faire la fête. Vous voyez ? Bon, vous avez maintenant un bon, aperçu des fréquentations actuelles de la brune. Bien sûr, cela ne veut pas dire qu’elle apprécie ces gens, juste qu’elle les fréquente, parce qu’ils serviront ses intérêts mieux que quiconque.
Le groupe que vous souhaitez rejoindre:

• Les Lycéens[]
  
• Les Intellos[]
  
• Les Pom Pom Girls[]
  
• Les Sportifs[]
  
• Les Défavorisés[]
  
• Les Skateurs[]
  
• Les Indisciplinés[]
  
• Les Adultes[X]
  

Prénom:Mathilde
Age:16
Vos séries préférés:Botineras, Alma Pirata, Floricienta, NCIS, House M.D
Vos Passes-temps: Equitation, rp
Depuis combien de temps faites vous du rp?:3 ans
Que pensez vous du forum?:Bien bien, heureuse de lui voir une seconde jeunesse
Que pensez vous du design ?: La bann’ est super, il a l’air prometteur.

Spoiler:

['me suis permise de refaire ma fiche xD aaah, aussi, grande question: j'ai une idée pour une autre personnage, j'aurais aimer savoir si je pouvais donc me le (enfin, en l'occurence, vu que c'est une fille) créer en double-compte]

Re-welcome^^. Tout est parfait, je valide. Pour le second compte, aucun problème tu peux le faire.

Re-bienvenue =)

J'en profite pour demander si un de vous deux (ou les deux) veut rp avec Fede ?

Et Franco, je dois prendre Max maintenant ? Ou je reste encore un peu avec Federico ?